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Une nouvelle preuve de la connexion entre le Polisario et les groupes terroristes du Sahel
10.10.2019 - 11:58 Un ancien membre de la milice du Polisario devenu chef d’un groupe de terroristes affilié à AQMI et qui fait la pluie et le beau temps dans le vaste désert s’étendant de l’Algérie au Ténéré, vient de faire la une de la presse américaine après que sa tête a été mise à prix.
En effet, ce natif de Laâyoune qui appartient à la tribu Rguibatt Labaihatt, avait rejoint les rangs de ce que le Polisario appelle l’APLS (l’armée populaire de libération du Sahara), avant de rejoindre le groupe jihadiste “Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest” (MUJAO), dont il fut le porte-parole, durant la guerre au Mali.
Deux ans après la fusion du Mujao et des Signataires du Sang, de Mokhtar Belmokhtar, pour former le groupe Al-Mourabitoune, Abou Walid annonce, en mai 2015, que sa faction avait prêté allégeance à Daech et l’a rebaptisé “Etat islamique dans le Grand Sahara”.
A noter que le groupe Etat islamique dans le Grand Sahara (EI-GS) figurait déjà sur la liste noire du Département d’Etat comme étant une organisation terroriste étrangère et son dirigeant, Abou Walid, a été placé sur la liste des terroristes mondiaux spécialement désignés.
C’est dans ce cadre que le Programme Rewards for Justice du Département d’Etat a offert une récompense allant jusqu’à 5 millions de dollars pour des informations menant à l’arrestation ou à la condamnation, dans tout pays, de cet individu dont le groupe avait revendiqué la responsabilité de l’embuscade, en octobre 2017, d’une patrouille conjointe américano-nigérienne près du village de Tongo Tongo, au Niger, qui a entraîné la mort de quatre soldats américains.
Rappelons que dès le 16 mai 2018, le Département d’État américain avait inscrit Abou Walid sur sa liste noire. Le 9 août de la même année, les Nations unies avaient suivi les Américains dans ce sens.
Cette annonce de récompense confirme les nombreux articles publiés par Libé dénonçant la connexion entre le Polisario et les groupes terroristes. Un fait que même les médias du Front Polisario ne cachent plus comme en témoigne un article publié en octobre 2017 par le site Futuro Sahara consacré à la fuite des Sahraouis vers les entités djihadistes opérant au Sahel.
» Source de l'article: liberation
En effet, ce natif de Laâyoune qui appartient à la tribu Rguibatt Labaihatt, avait rejoint les rangs de ce que le Polisario appelle l’APLS (l’armée populaire de libération du Sahara), avant de rejoindre le groupe jihadiste “Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest” (MUJAO), dont il fut le porte-parole, durant la guerre au Mali.
Deux ans après la fusion du Mujao et des Signataires du Sang, de Mokhtar Belmokhtar, pour former le groupe Al-Mourabitoune, Abou Walid annonce, en mai 2015, que sa faction avait prêté allégeance à Daech et l’a rebaptisé “Etat islamique dans le Grand Sahara”.
A noter que le groupe Etat islamique dans le Grand Sahara (EI-GS) figurait déjà sur la liste noire du Département d’Etat comme étant une organisation terroriste étrangère et son dirigeant, Abou Walid, a été placé sur la liste des terroristes mondiaux spécialement désignés.
C’est dans ce cadre que le Programme Rewards for Justice du Département d’Etat a offert une récompense allant jusqu’à 5 millions de dollars pour des informations menant à l’arrestation ou à la condamnation, dans tout pays, de cet individu dont le groupe avait revendiqué la responsabilité de l’embuscade, en octobre 2017, d’une patrouille conjointe américano-nigérienne près du village de Tongo Tongo, au Niger, qui a entraîné la mort de quatre soldats américains.
Rappelons que dès le 16 mai 2018, le Département d’État américain avait inscrit Abou Walid sur sa liste noire. Le 9 août de la même année, les Nations unies avaient suivi les Américains dans ce sens.
Cette annonce de récompense confirme les nombreux articles publiés par Libé dénonçant la connexion entre le Polisario et les groupes terroristes. Un fait que même les médias du Front Polisario ne cachent plus comme en témoigne un article publié en octobre 2017 par le site Futuro Sahara consacré à la fuite des Sahraouis vers les entités djihadistes opérant au Sahel.
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