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En images. Festival Gnaoua : Une place Moulay El Hassan métissée, colorée et enflammée
24.06.2018 - 01:41
La cité des Alizés entière a vibré aux rythmes de sons gnaouis revisités, émanant de la place Moulay El Hassan pour une première soirée de communion musicale forte en émotions, autant pour les artistes que pour le public, réunis à l’occasion du Festival Gnaoua et musiques du monde.
La cité des Alizés entière a vibré aux rythmes de sons gnaouis revisités, émanant de la place Moulay El Hassan pour une première soirée de communion musicale forte en émotions, autant pour les artistes que pour le public, réunis à l’occasion du Festival Gnaoua et musiques du monde.
La 21e édition de ce grand rendez-vous culturel international (21-23 juin) a été lancée par une rencontre des plus envoûtantes entre la légendaire formation américaine de jazz fusion Snarky Puppy et l’incontournable Maâlem gnaoui Hamid El Kasri, qui, ensemble, ont enchanté les festivaliers avec des mélodies fraîches et retentissantes, fruits d’une résidence artistique de quatre jours à Essaouira.
Par la suite est venu le tour du groupe marocain de fusion rock, hip hop, funk et folklore, Hoba Hoba Spirit de monter sur scène pour présenter aux Souiris et festivaliers de tous horizons leur dernier opus « Kamayanbaghi », sorti en janvier 2018 et composé de 13 morceaux, reflétant ainsi la richesse et la diversité du festival qui veille toujours à avoir des nouveautés au programme.
A l’instar des éditions précédentes, le 21e Festival Gnaoua a démarré par une parade d’ouverture colorée, qui a vu, encore cette année, le traditionnel défilé des Maâlems gnaouis à partir de Bab Doukkala, en présence notamment de M. André Azoulay, conseiller de SM le Roi et président fondateur de l’Association Essaouira- Mogador, de Mme Neila Tazi, productrice de cette manifestation culturelle, ainsi que d’autres personnalités des mondes de la politique, de l’art et des médias.
Créé en 1998, le Festival Gnaoua et musiques du monde d’Essaouira, qui attire environ 300.000 spectateurs par an, vise à préserver, valoriser et assurer la continuité du patrimoine tagnaouite, du statut de Maâlem et des musiciens qui s’adonnent à cet art ancestral oral.
» Source de l'article: lavieecoAutres articles
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