Art & Culture
3ème édition de la Semaine du cinéma ivoirien au Maroc
14.09.2018 - 21:01 Le rideau a été levé, jeudi soir à Rabat, sur la 3ème édition de la Semaine du cinéma ivoirien au Maroc par la projection du long-métrage “Kamissa” de son réalisateur Guy Kalou.
Cette manifestation culturelle organisée par le Centre cinématographique marocain (CCM) en partenariat avec l’Office national du cinéma de Côte d’Ivoire (ONAC-CI) et placée sous l’égide du ministère de la Culture et de la Communication et de l’ambassade de Côte d’Ivoire à Rabat, s’inscrit dans le cadre de l’accord de coproduction et d’échanges cinématographiques entre les deux pays qui vise à renforcer et consolider les relations bilatérales dans le domaine cinématographique.
La cérémonie d’ouverture de ce rendez-vous cinématographique a été marquée par la présence notamment du ministre de la Culture et de la Communication, Mohamed Laâraj, de l’ambassadeur de Côte d’Ivoire au Maroc, Idrissa Traoré et d’une délégation de professionnels du cinéma ivoirien.
Dans une déclaration à la MAP, M. Laâraj a affirmé que les relations entre le Maroc et la Côte d’Ivoire se sont renforcées au niveau politique et diplomatique, et que cette manifestation intervient pour consolider davantage les relations culturelles, notamment dans le domaine cinématographique, mettant l’accent sur le rôle capital de la culture dans le rapprochement des peuples.
Pour sa part, le directeur de l’ONAC-CI, Francois Yao, a relevé que “l’image permet le rapprochement des hommes, et c’est grâce à ce concept que la coopération entre le Maroc et la Côte d’Ivoire peut prendre un élan grandissant, constituant ainsi une façon de mieux se connaître”. Le directeur du CCM, Sarim Al Haq Fassi Fihri, a indiqué à l’ouverture de cette rencontre, que le cinéma a contribué au renforcement des relations de bonne entente entre le Maroc et la Côte d’Ivoire, se réjouissant du niveau atteint par la production cinématographique ivoirienne, la plus active en Afrique de l’Ouest.
Pour sa part, l’ambassadeur de Côte d’Ivoire a relevé que cette 3ème édition vise à contribuer au raffermissement des relations de coopération ivoiro-marocaines, au demeurant excellentes, d’une part, et d’autre part à créer un cadre idéal de rencontres et d’échanges interprofessionnels dans le domaine cinématographique. La cérémonie d’ouverture a été marquée par la projection du long-métrage “Kamissa”, à travers lequel son réalisateur Guy Kalou tente de sensibiliser sur le phénomène des grossesses en milieu scolaire. Ce film, qui a été écrit en version romanesque par l’épouse du réalisateur, raconte l’histoire d’une jeune élève de 15 ans issue d’une famille bourgeoise, qui s’appelle Kamissa, et qui a perdu sa mère à l’âge de 12 ans.
Son père, effondré par le décès de sa femme, se réfugie dans son boulot, au point de négliger sa fille qui tente de s’éduquer toute seule et qui finit par tomber enceinte. Au programme de cette édition, qui se déroule à la Cinémathèque du Royaume, figure également la projection d’une série de films ivoiriens, notamment “Nangama” d’Arantess De Bonalii, “Truth” de Stéphanie Affi, “L’intérprète II” de Kadhy Toure, “Caramel” de Henri Duparc, “Adanggaman” de Roger Gnoan M’bala et “Amour et argent” de Suzanne Kouame.
» Source de l'article: liberation
Cette manifestation culturelle organisée par le Centre cinématographique marocain (CCM) en partenariat avec l’Office national du cinéma de Côte d’Ivoire (ONAC-CI) et placée sous l’égide du ministère de la Culture et de la Communication et de l’ambassade de Côte d’Ivoire à Rabat, s’inscrit dans le cadre de l’accord de coproduction et d’échanges cinématographiques entre les deux pays qui vise à renforcer et consolider les relations bilatérales dans le domaine cinématographique.
La cérémonie d’ouverture de ce rendez-vous cinématographique a été marquée par la présence notamment du ministre de la Culture et de la Communication, Mohamed Laâraj, de l’ambassadeur de Côte d’Ivoire au Maroc, Idrissa Traoré et d’une délégation de professionnels du cinéma ivoirien.
Dans une déclaration à la MAP, M. Laâraj a affirmé que les relations entre le Maroc et la Côte d’Ivoire se sont renforcées au niveau politique et diplomatique, et que cette manifestation intervient pour consolider davantage les relations culturelles, notamment dans le domaine cinématographique, mettant l’accent sur le rôle capital de la culture dans le rapprochement des peuples.
Pour sa part, le directeur de l’ONAC-CI, Francois Yao, a relevé que “l’image permet le rapprochement des hommes, et c’est grâce à ce concept que la coopération entre le Maroc et la Côte d’Ivoire peut prendre un élan grandissant, constituant ainsi une façon de mieux se connaître”. Le directeur du CCM, Sarim Al Haq Fassi Fihri, a indiqué à l’ouverture de cette rencontre, que le cinéma a contribué au renforcement des relations de bonne entente entre le Maroc et la Côte d’Ivoire, se réjouissant du niveau atteint par la production cinématographique ivoirienne, la plus active en Afrique de l’Ouest.
Pour sa part, l’ambassadeur de Côte d’Ivoire a relevé que cette 3ème édition vise à contribuer au raffermissement des relations de coopération ivoiro-marocaines, au demeurant excellentes, d’une part, et d’autre part à créer un cadre idéal de rencontres et d’échanges interprofessionnels dans le domaine cinématographique. La cérémonie d’ouverture a été marquée par la projection du long-métrage “Kamissa”, à travers lequel son réalisateur Guy Kalou tente de sensibiliser sur le phénomène des grossesses en milieu scolaire. Ce film, qui a été écrit en version romanesque par l’épouse du réalisateur, raconte l’histoire d’une jeune élève de 15 ans issue d’une famille bourgeoise, qui s’appelle Kamissa, et qui a perdu sa mère à l’âge de 12 ans.
Son père, effondré par le décès de sa femme, se réfugie dans son boulot, au point de négliger sa fille qui tente de s’éduquer toute seule et qui finit par tomber enceinte. Au programme de cette édition, qui se déroule à la Cinémathèque du Royaume, figure également la projection d’une série de films ivoiriens, notamment “Nangama” d’Arantess De Bonalii, “Truth” de Stéphanie Affi, “L’intérprète II” de Kadhy Toure, “Caramel” de Henri Duparc, “Adanggaman” de Roger Gnoan M’bala et “Amour et argent” de Suzanne Kouame.
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