Social
SOS Brûlés, une association qui vous veut du bien
01.07.2018 - 21:01 L’Association marocaine à but non lucratif SOS Brûlés présidée par Mme Selma Mahyoui, a pour raison d’être, l’aide aux brûlés démunis. Aussi et dans cet esprit, et ce depuis le mois de mars dernier, elle a pris son bâton de pèlerin pour faire œuvre de pédagogie, à travers une campagne au niveau des établissements scolaires casablancais, afin de sensibiliser quelques milliers d’élèves sur les dangers que peuvent représenter les accidents domestiques liés au feu. Les écoles qui ont ainsi pu bénéficier de cette campagne de sensibilisation supervisée par Jamal Aazouri en tant que formateur et Mohamed Isnad en tant qu’encadreur, sont respectivement, au mois de mars, l’école du quartier industriel, l’école Abu Aala Al Ma’ari, l’école Safi al-Din al-Hali, l’école Al Kissali (avril) et en mai l’école Family School, Abi Annan et l’école Laâyoune.
Cette campagne a vu des cadres éducatifs, des assistants sociaux et de nombreux volontaires de la société civile s’y engager afin de faire en sorte qu’elle puisse profiter à un grand nombre d’enfants en formation. L’initiative qui a également reçu un répondant favorable de la part du corps enseignant et des parents d’élèves doit son succès aux consignes, explications et applications théoriques sur les conduites à tenir face à ce fléau.
C’est ainsi que les élèves ont été sensibilisés sur le danger des butanes de gaz, première cause dans les incendies de maisons et des magasins mais aussi sur d’autres objets qui font partie des éléments familiers dont on se sert au quotidien comme les téléphones portables et les chargeurs par exemple. Des témoignages d’élèves et de parents sur les accidents domestiques ont souvent enrichi les débats.
Bref, la campagne qui avait pour but de conscientiser sur les brûlures en milieu domestique et leurs graves conséquences souvent tragiques pour les victimes et leur famille a, semble-t-il, atteint ses objectifs. Comme celle de promouvoir la culture du bénévolat en créant des cours de sensibilisation complets dans les institutions et de conforter le rôle des jeunes et organismes de bienfaisance face aux risques d’incendie et de brûlures.
Egalement dans cet ordre d’idées, expliquer aux jeunes adultes et à leurs familles la façon de gérer une situation de panique lors d’un incendie et apprendre les bons gestes en cas de brûlures. On a aussi mis l’accent sur le fait d’éclairer l’opinion quant aux aspects tragiques post-traumatiques après l’incendie et leurs conséquences douloureuses sur la santé et le psychique du brûlé.
Des recommandations ont été faites aux parents et plus particulièrement aux jeunes mamans afin que les enfants évitent les cuisines et jusqu’à ce qu’ils aient pris avec l’âge conscience des dangers qu’elles peuvent représenter.
Plusieurs actions en outre dans ce sens ont été réalisées, telle la distribution de livrets ludiques aux élèves et aux établissements dans lesquels sont pointés, photos aidant, toute origine d’un déclenchement d’un accident domestique pouvant entraîner un incendie et plus graves, des brûlures. Il y va de soi pour une association non lucrative comme, SOS Brûlés, aider les personnes nécessiteuses est inscrit dans ses gènes. L’appel à faire don de médicaments et de matériel chirurgical était donc d’une logique tout-à-fait naturelle. Tout comme le soutien psychologique et les soins de santé nécessaires au brûlé.
» Source de l'article: liberation
Cette campagne a vu des cadres éducatifs, des assistants sociaux et de nombreux volontaires de la société civile s’y engager afin de faire en sorte qu’elle puisse profiter à un grand nombre d’enfants en formation. L’initiative qui a également reçu un répondant favorable de la part du corps enseignant et des parents d’élèves doit son succès aux consignes, explications et applications théoriques sur les conduites à tenir face à ce fléau.
C’est ainsi que les élèves ont été sensibilisés sur le danger des butanes de gaz, première cause dans les incendies de maisons et des magasins mais aussi sur d’autres objets qui font partie des éléments familiers dont on se sert au quotidien comme les téléphones portables et les chargeurs par exemple. Des témoignages d’élèves et de parents sur les accidents domestiques ont souvent enrichi les débats.
Bref, la campagne qui avait pour but de conscientiser sur les brûlures en milieu domestique et leurs graves conséquences souvent tragiques pour les victimes et leur famille a, semble-t-il, atteint ses objectifs. Comme celle de promouvoir la culture du bénévolat en créant des cours de sensibilisation complets dans les institutions et de conforter le rôle des jeunes et organismes de bienfaisance face aux risques d’incendie et de brûlures.
Egalement dans cet ordre d’idées, expliquer aux jeunes adultes et à leurs familles la façon de gérer une situation de panique lors d’un incendie et apprendre les bons gestes en cas de brûlures. On a aussi mis l’accent sur le fait d’éclairer l’opinion quant aux aspects tragiques post-traumatiques après l’incendie et leurs conséquences douloureuses sur la santé et le psychique du brûlé.
Des recommandations ont été faites aux parents et plus particulièrement aux jeunes mamans afin que les enfants évitent les cuisines et jusqu’à ce qu’ils aient pris avec l’âge conscience des dangers qu’elles peuvent représenter.
Plusieurs actions en outre dans ce sens ont été réalisées, telle la distribution de livrets ludiques aux élèves et aux établissements dans lesquels sont pointés, photos aidant, toute origine d’un déclenchement d’un accident domestique pouvant entraîner un incendie et plus graves, des brûlures. Il y va de soi pour une association non lucrative comme, SOS Brûlés, aider les personnes nécessiteuses est inscrit dans ses gènes. L’appel à faire don de médicaments et de matériel chirurgical était donc d’une logique tout-à-fait naturelle. Tout comme le soutien psychologique et les soins de santé nécessaires au brûlé.
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