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Une Coalition civile braque les projecteurs sur le droit de la montagne au développement
06.07.2018 - 21:00 «La montagne et le droit au développement » est le thème d’un forum international qui aura lieu les 20 et 21 juillet courant à Fès.
Les habitants des zones montagneuses ont toujours souffert en silence. Désormais, ils comptent faire entendre leur voix. Ils veulent surtout accéder à leur droit au développement, comme cela est stipulé dans les textes de loi. Un collectif est ainsi décidé à porter cette voix et ces doléances : la Coalition civile pour la montagne, composée de pas moins de deux cents associations locales, représentant toutes les zones de montagne du Royaume.
Pour ce faire, ils entament la deuxième phase de plaidoyer par l’organisation les 20 et 21 juillet courant à Fès, d’un forum international sur la montagne. En présence d’experts nationaux et internationaux, d’acteurs associatifs locaux et même d’habitants de ces zones, ce forum entend mettre la lumière sur les expériences internationales en matière législative, mais aussi au niveau du mode de vie et de résolution des problèmes pratiques.
Plusieurs experts viendront à cette occasion de l’Amérique latine, afin d’exposer leurs expériences et visions pour le développement dans des zones difficiles d’accès, mais aussi souvent marginalisées par les politiques publiques. L’objectif des organisateurs, estime Mohamed Dich, coordinateur de la Coalition civile pour la montagne, est de parvenir à une stratégie nationale à même de permettre l’harmonie des actions menées dans ces zones, ainsi que la mise en place de lois compatibles, viables et réalisables.
Rappelons qu’une première phase de plaidoyer avait été menée il y a trois ans, dans l’objectif d’attirer l’attention sur les problèmes que rencontrent les populations des zones montagneuses, notamment en saison hivernale, lorsque l’accès à ces zones devient difficile, voire impossible.
«Il est inconcevable aujourd’hui de donner jour à des politiques publiques sans prendre en considération la nature des espaces à toucher, car, au fur et à mesure que vous changez de reliefs, vous changez la portée et la nature des politiques publiques, d’où l’importance d’une stratégie nationale, conçue dans un esprit participatif avec les acteurs locaux», plaide Mohamed Dich.
» Source de l'article: liberation
Les habitants des zones montagneuses ont toujours souffert en silence. Désormais, ils comptent faire entendre leur voix. Ils veulent surtout accéder à leur droit au développement, comme cela est stipulé dans les textes de loi. Un collectif est ainsi décidé à porter cette voix et ces doléances : la Coalition civile pour la montagne, composée de pas moins de deux cents associations locales, représentant toutes les zones de montagne du Royaume.
Pour ce faire, ils entament la deuxième phase de plaidoyer par l’organisation les 20 et 21 juillet courant à Fès, d’un forum international sur la montagne. En présence d’experts nationaux et internationaux, d’acteurs associatifs locaux et même d’habitants de ces zones, ce forum entend mettre la lumière sur les expériences internationales en matière législative, mais aussi au niveau du mode de vie et de résolution des problèmes pratiques.
Plusieurs experts viendront à cette occasion de l’Amérique latine, afin d’exposer leurs expériences et visions pour le développement dans des zones difficiles d’accès, mais aussi souvent marginalisées par les politiques publiques. L’objectif des organisateurs, estime Mohamed Dich, coordinateur de la Coalition civile pour la montagne, est de parvenir à une stratégie nationale à même de permettre l’harmonie des actions menées dans ces zones, ainsi que la mise en place de lois compatibles, viables et réalisables.
Rappelons qu’une première phase de plaidoyer avait été menée il y a trois ans, dans l’objectif d’attirer l’attention sur les problèmes que rencontrent les populations des zones montagneuses, notamment en saison hivernale, lorsque l’accès à ces zones devient difficile, voire impossible.
«Il est inconcevable aujourd’hui de donner jour à des politiques publiques sans prendre en considération la nature des espaces à toucher, car, au fur et à mesure que vous changez de reliefs, vous changez la portée et la nature des politiques publiques, d’où l’importance d’une stratégie nationale, conçue dans un esprit participatif avec les acteurs locaux», plaide Mohamed Dich.
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