Social
Violence à l’égard des femmes et harcèlement sexuel : Une loi sonne le glas de l’impunité
30.12.2018 - 21:02 Question de timing, on ne pouvait faire mieux. Tandis que plusieurs affaires d’agressions sexuelles défrayent la chronique, la loi 103-13 relative à la lutte contre les violences à l’égard des femmes, publiée il y a quelques mois au Bulletin officiel (n° 6655 du 12 mars 2018), est entrée en vigueur le 12 septembre.
Malgré les nombreuses garanties qu’elle apporte d’un côté, notamment au niveau de la protection des victimes d’agressions sexuelles, ainsi qu’une définition des violences faites aux femmes comme «tout acte basé sur la discrimination fondée sur le genre, qui soit de nature à causer un dommage physique, psychologique, sexuel ou économique à une femme», de l’autre, elle fait l’objet de plusieurs critiques émises par les associations des droits des femmes.
Outre le sentiment d’avoir été mis à l’écart lors de l’élaboration de la loi dite « Loi Hakkaoui », car portée par la ministre de la Famille, de la Solidarité, de l’Egalité et du Développement social, sont également fustigés par les associations, l’absence de pénalisation du viol conjugal ou encore le manque de précision concernant certaines dispositions, comme dans le cas du mariage, sanctionné mais uniquement en cas d’utilisation de violences ou de menaces.
» Source de l'article: liberation
Malgré les nombreuses garanties qu’elle apporte d’un côté, notamment au niveau de la protection des victimes d’agressions sexuelles, ainsi qu’une définition des violences faites aux femmes comme «tout acte basé sur la discrimination fondée sur le genre, qui soit de nature à causer un dommage physique, psychologique, sexuel ou économique à une femme», de l’autre, elle fait l’objet de plusieurs critiques émises par les associations des droits des femmes.
Outre le sentiment d’avoir été mis à l’écart lors de l’élaboration de la loi dite « Loi Hakkaoui », car portée par la ministre de la Famille, de la Solidarité, de l’Egalité et du Développement social, sont également fustigés par les associations, l’absence de pénalisation du viol conjugal ou encore le manque de précision concernant certaines dispositions, comme dans le cas du mariage, sanctionné mais uniquement en cas d’utilisation de violences ou de menaces.
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