HIBAPRESS-RABAT
Après de nombreuses confusions sur la décision du Tribunal Social de Première Instance de Casablanca, avant-hier lundi, en raison de fausses déclarations de l’artiste, Jamila El Haouni, cette dernière a décidé de rompre son silence et de révéler les détails de l’incident.
El Haouni a commenté la décision en déclarant qu’il n’était pas acceptable d’abandonner la tutelle de l’artiste, Amine Naji, à son fils, après le procès qu’elle a intenté contre lui, en disant : « En réponse à ce qui s’est passé concernant le procès d’abandonner la tutelle du père, c’est-à-dire le père irresponsable, le jour qui s’est produit est un jour d’incompréhension ou de confusion, alors écoutez la décision.” D’une mauvaise manière, cela m’a fait sortir avec des nouvelles incorrectes, désolé et désolé pour cette hâte de ma part.
Et elle a poursuivi en disant : « Au début, je voulais remercier l’honorable juge de m’avoir donné le droit d’inscrire mon fils à l’école française des missions.
Et elle a poursuivi en disant: “Cette décision m’a donné de la force et m’a fait attacher davantage à soutenir cette cause. Cette cause est plus grande que Jamila El Haouni et son fils. C’est le cas d’un grand nombre de femmes au Maroc, dont les voix ne sont pas du tout entendues.
Et d’ajouter : “Toutes les portes sont fermées et nous passons par toutes les voies légitimes à travers la société civile marocaine, et plaidant pour l’appel à renverser la tutelle du père, le père irresponsable et celui qui ne porte pas la responsabilité envers son enfants, d’autres enfants souffrent en silence : “L’important est que notre combat soit long, surtout que la loi change et soit en phase avec les problèmes de cette société dans laquelle nous vivons, et il y a des problèmes qui sont plus grands que cette affaire, et à ceux qui ne l’ont pas fait veulent ce genre de problème en premier lieu, surtout les parents qui assument leur responsabilité envers leurs enfants. Le changement est possible, surtout autre que le courage précède.
Et elle a poursuivi : “Merci pour votre soutien, et merci même à ceux qui s’en fichent, mais voyez si l’un d’entre nous peut résoudre ce problème, c’est possible pour nous, pour vous, pour votre fille, votre fils, votre sœur, votre frère, ou qui que ce soit de la famille, pour vous faire adhérer à la Religion, car Notre Religion est contre l’injustice.
Dans le même contexte, le Tribunal Social de Première Instance de Casablanca a décidé, avant-hier lundi, de ne pas accepter la révocation de la tutelle de l’artiste Amine Naji, à son fils, après le procès intenté contre lui par son ex-femme, l’artiste marocaine Jamila El Haouni.
Et le même Tribunal a décidé de ne pas accepter formellement la demande dans la partie relative à l’abandon de la tutelle légale du père et de l’accepter dans le reste, c’est-à-dire l’habilitation du prévenu à son fils adoptif. Le fils a pu poursuivre ses études à la mission française avec la pension, et le reste des demandes a été rejeté.
Il est à noter que Jamila El Haouni a demandé l’abrogation de la tutelle du père, ainsi que l’obtention d’une décision urgente pour disposer des papiers administratifs liés à son fils.
Il est à noter aussi que l’artiste marocaine a révélé au cours des jours précédents la souffrance de son fils en raison de ne pas lui donner l’autorisation de changer d’école, ainsi que de le priver d’obtenir un passeport pour partir avec ses amis en voyage sportif pour faire connaissance de l’un des clubs de football d’Espagne.
