
En présentant deux candidats aux élections partielles d’Al Hoceima et de Meknès, le président du RNI et chef du gouvernement risque d’accentuer le climat de défiance au sein de la majorité, à l’heure où il fait l’objet d’une campagne virtuelle réclamant son départ. Tous les chemins mènent à Al Hoceima. Le chef-lieu de la région…
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