L’Atelier 21 invitée à la foire d’art contemporain africain

La galerie d’art L’Atelier 21 a été sélectionnée pour participer à la quatrième édition de la foire d’art contemporain africain 1-54, qui se déroule du 9 au 12 février 2023 à La Mamounia, Marrakech.

Dédiée à l’art contemporain d’Afrique et à sa diaspora, la 1-54 est une foire d’art internationale majeure qui connaît des éditions annuelles à Londres, New-York, Marrakech et plus récemment Paris.

Engagée dans le dialogue et l’échange, la foire 1-54 permet de réunir des galeries de tout le continent africain, mais également du reste du monde. La 1-54 s’est imposée comme une foire de référence, permettant d’attirer les feux des projecteurs sur la scène artistique africaine. La galerie d’art L’Atelier 21 participe à cet événement pour faire valoir la contribution des artistes marocains dans la concrétisation d’une scène artistique africaine. 

Pour sa participation àcette 4e édition, L’Atelier 21 expose des œuvres des artistes Mo Baala,  Moustapha Baidi Oumarou, M’barek Bouhchichi, Hako Hankson et Yamou.
Mo Baala s’intéresse autant au dessin qu’à la peinture, en passant par les collages, la sculpture ou encore les graffitis. Son art emprunte à la fois au street art et aux éléments patrimoniaux inscrits dans son entourage. 

Moustapha Baidi Oumarou est un artiste camerounais qui a développé une peinture aérienne où il a imprimé à la fois son faire et son monde de représentation.  

Le corps constitue un thème aux ramifications multiples dans l’œuvre de M’barek Bouhchichi. Moulé, sculpté, dessiné, peint, il est mis en exergue à travers un kaléidoscope de signes, de fragments (presque votifs) et d’images qui donnent à voir une préoccupation majeure chez l’artiste : peindre des hommes et des femmes marocains à la peau noir. 

Hako Hankson est un artiste peintre camerounais. Attaché aux mythes et croyances de sa région, l’artiste s’empare de rites ancestraux en leur donnant une résonance contemporaine. Les peintures de Hako Hankson reposent sur la narration, les œuvres se substituant parfois à la parole pour conter des histoires. 

Yamou n’en a pas fini de créer, défaire et recréer son jardin pictural, sans jamais être satisfait du résultat, s’engageant à chaque fois dans de nouvelles recherches, exploitant toujours des pistes innovantes, inédites sans se fourvoyer de sa passion fusionnelle pour la nature. 

 


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