Dans le même sillage, il a rappelé que le chef du gouvernement avait appelé les secteurs privé et bancaire à accompagner cette dynamique afin d’atteindre l’objectif de création de 500.000 emplois et porter ainsi l’investissement privé à 550 milliards de dirhams d’ici 2026.
Il a aussi fait observer que l’attractivité du Maroc pour les investisseurs privés dépend d’un ensemble de facteurs sur lesquels l’Exécutif s’efforce d’agir, rappelant le succès du Royaume à sortir de la liste grise du Groupe d’action financière (GAFI).
Pour rappel, la ministre déléguée auprès du chef du gouvernement, chargée de la Transition numérique et de la Réforme administrative, Ghita Mezzour avait déclaré dans le même contexte que 22 décisions administratives les plus courantes pour faciliter l’investissement, ont été simplifiées, soit une réduction de 45 % des documents requis pour les porteurs de projets.
L’objectif étant de mettre en place les conditions optimales à l’investissement comme levier de croissance et pourvoyeur d’emploi.
