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A l’ONU, les acquis renforcés du Maroc sur son Sahara

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Dans sa démarche pour la défense de la justesse de la première cause nationale, qui puise sa quintessence dans la vision perspicace et avant-gardiste du Roi Mohammed VI, le Maroc s’appuie sur une action diplomatique proactive et agissante.

Grâce à cette vision forgée dans la détermination et la conviction, le Maroc a vu ses acquis renforcés en cette année 2022 au sein de l’organisation des Nations Unies. Dans sa résolution 2654 adoptée en octobre dernier, le Conseil de sécurité a consacré d’une manière irréversible la prééminence, la crédibilité et le sérieux de l’initiative marocaine d’autonomie en tant que seule et unique solution à ce différend régional dans le cadre de la souveraineté et l’intégrité territoriale du Royaume.

N’en déplaise à l’Algérie et son pantin le Polisario, l’instance exécutive de l’ONU a aussi conforté le soutien massif de la communauté internationale en faveur de l’initiative d’autonomie, qui s’est traduit par l’expression d’appui fort, clair et officiel de plus de 90 pays à l’initiative marocaine, ainsi que par l’ouverture par 30 autres pays de consulats généraux dans les villes de Laâyoune et Dakhla, en confirmation de la marocanité du Sahara.

Cette consécration des plus claires a été réaffirmée aussi par de nombreux pays, groupements régionaux et pétitionnaires qui se sont succédé au podium de la 4ème Commission de l’Assemblée générale des Nations Unies pour apporter leur soutien au processus politique et mettre en avant les efforts sincères et sérieux du Maroc incarnés par le plan d’autonomie.

Tout au long du mois d’octobre et début novembre, les ambassadeurs et les représentants de délégations et de groupements régionaux ont pris la parole pour aussi exprimer leur conviction dans la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud et mettre en avant la prééminence du plan d’autonomie comme seule et unique solution au conflit régional sur le Sahara, ainsi que la dynamique de développement tous azimuts que connaît cette partie intégrante du Royaume.

Dans sa même résolution, le Conseil a épinglé à nouveau l’Algérie, en scellant une fois de plus son statut de partie prenante principale dans le différend régional sur le Sahara marocain, en lui enjoignant de coopérer et de s’engager avec le Secrétaire général de l’ONU dans le cadre du processus politique des tables rondes dans un esprit de compromis, et de réalisme et ce, jusqu’à l’aboutissement de ce processus.

A travers la nouvelle résolution, l’organe onusien a également réaffirmé sa position constante et celle de la communauté internationale selon laquelle la solution à ce différend régional doit être politique réaliste, pragmatique, durable et basée sur le compromis.

“Cette corroboration de la position du Conseil de sécurité qui ne souffre d’aucune ambiguïté rejoint la conviction du SG de l’ONU dans son dernier rapport en appelant à ce que le règlement de cette question se base sur les résolutions du Conseil de sécurité depuis 2018”, avait déclaré l’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale à l’issue de l’adoption de la résolution 2654.

Dans la même veine, l’Assemblée générale de l’ONU a réitéré, dans une résolution adoptée récemment, son soutien au processus politique mené sous l’égide exclusive des Nations-Unies pour le règlement du différend régional autour du Sahara marocain, dans le cadre des résolutions du Conseil de Sécurité depuis 2007. Il s’agit du même texte adopté par la 4éme Commission, le mois dernier.

Cette résolution, à l’instar de ses précédentes et de celles adoptées par le Conseil de sécurité depuis plus de deux décennies, ne cite à aucun moment le référendum, mort et enterré aussi bien par le Secrétaire général de l’ONU que par l’Assemblée générale et le Conseil de sécurité des Nations-Unies.

Plus encore, cette résolution a mis à nu les mensonges de l’Algérie et sa marionnette le Polisario, en qualifiant la question du Sahara marocain de « différend » régional entre le Maroc et l’Algérie et aucunement de prétendue question de « décolonisation ».

Toutes ces avancées qui confortent les acquis du Maroc renseignent sur la détermination et l’engagement ferme du Royaume en faveur de la défense de son intégrité territoriale et de sa souveraineté pleine et entière sur ses provinces du Sud.


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