HIBAPRESS-S. Bouyaàkoubi
Il semble que le régime militaire algérien ait réussi à tirer une balle dans la jambe du petit fils de Mandela lors de la cérémonie d’inauguration du CHAN alors qu’il s’est placé dans une position scandaleuse qui reflète l’étendue de l’hostilité et de la haine envers le Maroc, en invitant un personnage fictif et dirigeant imaginaire, reconnu coupable de viol sur mineures en Afrique du Sud, pour faire passer des messages politiques depuis une façade sportive, en contraste frappant avec les lois de la FIFA et ses règlements.
De gros mots passés par Mandela le petit-fils qui avait auparavant échangé la dépouille de son grand-père, sachant aussi que l’Afrique du Sud a vécu à de nombreuses reprises sous l’impact d’un scandale dont le petit-fils a été le héros lorsqu’il a expulsé sa femme française de la maison familiale, après avoir découvert qu’elle avait donné naissance à un enfant de son frère cadet en 2011.
Ce scandale est considéré comme faisant partie d’une série de scandales qui ont suscité une vaste polémique à propos de Mandela le petit-fils, qu’aujourd’hui les « caporaux » de l’Algérie se sont efforcés à l’employer pour porter atteinte à l’Intégrité Territoriale du Maroc après avoir connu l’amertume d’un échec diplomatique devant le Royaume, ce qui a amené les dirigeants d’El Mouradia au stade de la «folie».
