Saisi d’une question prioritaire de constitutionnalité, le Conseil constitutionnel a dû trancher sur la question de la fin de vie. Avec le cas d’une équipe médicale souhaitant arrêter les soins d’un patient ayant exprimé, en amont, la volonté d’être maintenu en vie, même artificiellement, l’entité constitutionnelle réaffirme le droit des médecins d’y déroger.