Santé

Tatouage-thérapie : « Je devais faire ce tatouage pour me réconcilier avec le pire traumatisme de ma vie »

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En novembre dernier, le photographe Olivier Roller publiait un livre bouleversant regroupant les témoignages de 22 rescapés du Bataclan. Marqués à vie par ce 13 novembre, ils ont décidé d’inscrire à l’encre dans leur peau, le souvenir de cette nuit terrible. Certains ont couvert leurs cicatrices de fleurs, d’autres ont opté pour le tracé d’un squelette, les paroles de « Kiss the Devil », la chanson qui retentissait dans la salle de spectacle à l’arrivée des terroristes… Catharsis, symbole, réappropriation du corps… marquer sa peau après un évènement peut sembler thérapeutique. Élément de reconstruction et de renaissance, le tatouage fixe à jamais un souvenir dans notre chair, sans pour autant nous faire revivre ces souvenirs douloureux.

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