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Après son apparition lors du match d’ouverture de l’Espagne au Qatar 2022 contre le Costa Rica, Sergio Busquets devient le huitième joueur à remporter la Coupe du monde et à revenir dans la compétition 12 ans plus tard.
Busquets est devenu le huitième joueur à revenir à la Coupe du monde douze ans après l’avoir remportée
Il a remporté 140 sélections pour l’Espagne et est le seul survivant de La Roja depuis 2010
Alors que Sergio Busquets trottait sur le gazon du stade Al Thumama du Qatar contre le Costa Rica mercredi dernier, il a rejoint un club exclusif de la Coupe du Monde de la FIFA™. Le milieu de terrain espagnol n’est devenu que le huitième joueur de l’histoire de ce tournoi à soulever le trophée et à revenir jouer en finale 12 ans plus tard.
Le joueur de 36 ans, qui continue de faire du mannequinat et de dicter à la base de la salle des machines de La Roja , rejoint de véritables légendes pour obtenir cette distinction.
Thierry Henri (France)
Jusqu’à cette semaine, le meilleur buteur de tous les temps en France était le plus récent intronisé dans le club. Ancien coéquipier de Busquets à Barcelone, Henry a goûté à la gloire de la Coupe du monde avec la France à domicile en 1998 – marquant trois fois alors que les Bleus soulevaient le trophée.
Il est revenu sur la scène mondiale en 2002 et 2006 avant d’être capitaine de l’équipe de Raymond Domenech en Afrique du Sud en 2010 alors que la France s’effondrait en phase de groupes.
Cafu et Ronaldo (Brésil)
Lorsque le Brésil a remporté avec succès sa quatrième Coupe du monde en 1994, Romario, Bebeto et Dunga ont été rejoints par deux stars émergentes sous la forme de Cafu et Ronaldo, 17 ans.
Le duo a joué des rôles de soutien aux États-Unis, mais a joué en 1998 et 2002 lorsque les Sud-Américains ont atteint trois finales consécutives, remportant le match phare Japon/Corée grâce à un doublé d’ O Fenômeno .
Ils sont revenus pour un dernier hourra à Allemagne 2006, avec Cafu en tant que capitaine de l’équipe et Ronaldo en tête, mais ont été devancés par la France en quarts de finale.
Franco Baresi et Daniele Massaro (Italie)
L’Italie a emmené une équipe stellaire en Espagne en 1982, avec en tête d’affiche le gardien vétéran Dino Zoff et le maître buteur Paolo Rossi. Mais parmi ces superstars établies se trouvaient les nouveaux visages de Franco Baresi et Daniele Massaro.
Gli Azzurri a battu l’Allemagne dans le match phare et la paire connaîtra ensuite une carrière chargée de trophées avec l’AC Milan avant de se diriger vers USA ’94 en tant que partie intégrante d’une autre équipe italienne étoilée. Mais leur carrière nationale ne se terminerait pas aussi bien qu’elle avait commencé, le duo ratant les tirs au but lors de la fusillade – avec Roberto Baggio – en ce jour fatidique à Pasadena.
Pelé (Brésil)
À Suède 1958, le monde a été témoin de son premier aperçu de l’adolescent surnaturel Edson Arantes do Nascimento – mieux connu sous le nom de Pelé. Le Brésilien de 17 ans a remporté le prix du meilleur jeune joueur, ainsi que le trophée Jules Rimet, après avoir inscrit un doublé en finale.
Le Brésil a répété l’exploit en 1962, mais Pelé a juré de ne plus jamais jouer en finale après l’élimination de la Seleção du tournoi de 1966, pour changer d’avis avant Mexico 1970 et revenir pour un dernier chant du cygne. Là, il a remporté sa troisième et dernière Coupe du monde pour devenir le premier et le seul joueur à remporter le tournoi à trois reprises – et à douze ans d’intervalle.
William Martínez (Uruguay)
Le membre fondateur du club était William Martinez, un défenseur uruguayen qui a remporté de nombreux trophées dans son pays natal et a apporté cette touche dorée à l’équipe nationale au Brésil 1950.
Il n’est peut-être pas entré sur le terrain alors que La Celeste a remporté sa deuxième Coupe du monde, la première à être décidée par un format de “round robin”, mais il a participé au Chili 1962 en tant que sage chef de l’équipe de Juan Corazzo, lorsque les Sud-Américains tombé en phase de groupes.
