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Immobilier, énergie, industrie, infrastructures, financières… De nombreuses grosses capitalisations, tous secteurs confondus, ont généré cette performance, boostée par l’annonce par le Conseil de la Fifa de la candidature commune Maroc-Espagne-Portugal, retenue comme unique pour l’organisation de la Coupe du monde 2030.
Cette réaction du marché est certes psychologique, reflétant l’optimisme des investisseurs quant à cette annonce, mais elle traduit également leurs attentes par rapport aux impacts économiques sur le Maroc de l’organisation partielle de cette compétition mondiale.
Tourisme, artisanat, services, infrastructures, investissement public et privé, consommation… Plusieurs pans de l’économie marocaine seront dynamisés dès l’octroi définitif de l’organisation de cette compétition, mais aussi pendant et après son déroulement.
Ceci sans parler du capital image du Maroc, déjà renforcé par plusieurs événements comme la Coupe du monde Qatar 2022 qui a connu une participation exceptionnelle des Lions de l’Atlas, ou encore la tenue des Assemblées Annuelles FMI-Banque mondiale, maintenues malgré le séisme qui a frappé il y a un mois la région d’Al Haouz et qui n’a, pour rappel, eu aucun effet négatif sur le marché boursier.