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LA FAIM FRAPPE LES CAMPS DE LA HONTE ET PLUSIEURS SAHRAOUIS CHERCHENT A RETOURNER AU MAROC

HIBAPRESS-RABAT

Il est très naturel, selon les opinions de nombreux analystes économiques et observateurs des affaires économiques mondiales et régionales, que le monde pré-Corona soit passé de manière irréversible, et que les signes d’un nouveau monde économique semblaient se former à l’horizon, et d’où les charges économiques et sociales pesant sur les pays, notamment les pauvres voire ceux qui marchent sur le chemin de la croissance pour maintenir la stabilité de sa situation économique interne face aux crises pour assurer une vie décente à ses populations.

Dans ce contexte, les sahraouis détenus dans les camps de la honte vivent leurs pires jours avec la faim et le manque de consommables, ce qui est normal tant que le régime des généraux algériens, l’hôte officiel de ces personnes, vit dans la famine en raison des files d’attente fastidieuses et interminables de ses citoyens à la recherche de leur part de lait, d’huile, de semoule, de sucre et autres aliments de nécessité.

Cette situation misérable a été exprimée par l’un des citoyens sahraouis, Ali Fadili, sur sa page Facebook, en disant : “Oh, jeunes sahraouis, nous avons décidé avec un groupe de jeunes d’organiser une marche de retour avec nos familles, nos enfants et nos femmes vers notre terre là-bas au Maroc. Nous sommes fatigués. Maintenant la seule solution qui nous reste est de défier le blocus. Le gang du polisario veut nous faire vivre dans la misère sans dignité mais nous sommes fatigués de cette situation intolérable ou régne maladies, microbes, pas d’études, pas d’espoir, pas d’avenir.

Le poste a été le point qui a fait déborder le vase, alors que des milliers de jeunes sahraouis avec les mêmes aspirations, la même démarche, et les rêves d’une vie décente interagissaient avec lui, d’autant plus que les conditions à l’intérieur des marchés dans les camps de la honte vivent de l’impact de la faim et le siège que la fragmentation d’Ibn Battouch frappe avec des instructions du régime des généraux sur les camps et empêche leurs propriétaires de partir sans obtenir de permis, ce qui a entravé les mouvements des détenus sahraouis et les a empêchés de chercher un moyen de subsistance, à la recherche de travail ou s’enfuir au Maroc pour embrasser la liberté.

 


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