Les droits de la famille au cœur de «La Nuit blanche du cinéma»
Pour sa 11e édition, la Nuit blanche du cinéma a pris comme thématique «Les droits de la famille», qui seront abordés dans les neuf films sélectionnés du Maroc, de la Suisse, du Portugal, de la Palestine, de la France et du Paraguay. Ces productions seront projetées dans l’espace de la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc, les 22 et 23 juillet.
Organisée par l’Association des rencontres méditerranéennes pour le cinéma et les droits de l’Homme, cette édition 11e édition de la Nuit blanche du cinéma, sur le thème «Cinéma et droits de la famille», se déroulera sur la plateforme du cinéma numérique (armcdh.ma). En dehors des projections cinématographiques, une rencontre sur «Cinéma et droits de la famille» sera animée, dans la salle de séminaire de la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc, par le journaliste Jamaa Goulahsen, avec la participation de Aawatif Hayar, ministre de la Solidarité, de l’intégration sociale et de la famille, El Mostafa Rezrazi, président de l’Observatoire marocain contre l’extrémisme et la violence et professeur à la Faculté de gouvernance et des sciences économiques et sociales (Université Mohammed VI Multidisciplinaire).
Participeront aussi à cette table ronde, la directrice nationale de l’Association SOS Villages d’enfants, Samia El Mousti, le chercheur en sciences sociales et expert dans le domaine de l’enfance et des transformations sociales, Khaled El Hanfioui, et la chercheuse dans le domaine des sciences sociales et professeure à l’Institut national d’action associative de Tanger, Touria Houssam. Le communiqué de l’événement signale qu’au cours des deux années de l’état d’urgence sanitaire et de la période de confinement, puis des restrictions de déplacement qui les ont accompagnés, la famille a été au centre des débats publics liés à la gestion de la crise. Tout au long de cette période, un certain nombre de problèmes ont émergé, tels que la violence domestique, la protection des personnes âgées, le décès de proches sans pouvoir assister aux cérémonies funéraires, entre autres. Ce sont ces problèmes qui ont poussé l’association à choisir ce thème pour approfondir la discussion à ce sujet et le partager avec le large public.
