Ce qui en ressort? Un certain nombre de dysfonctionnements, d’abus professionnels et de comportements individuels allant à l’encontre des normes de gouvernance de la sécurité et à l’éthique professionnelle de la police.
Parmi ces sanctions disciplinaires, il y a eu la suspension provisoire du directeur de l’Institut Royal de police, dans l’attente de sa présentation devant le Conseil de discipline qui examinera les dépassements qui lui sont attribués. De telles mesures ont, de plus, été le sort d’un brigadier de police, un inspecteur de police et deux autres fonctionnaires de police.
Une réprimande à, en outre, été prise à l’encontre d’un officier de police et des avertissements ont été donnés à trois autres employés de la même institution, dont deux commissaires de police et un inspecteur de police.
Outre ces mesures disciplinaires, les résultats de l’enquête ont conduit à proposer une série de mesures d’évaluation des performances visant à remédier aux dysfonctionnements identifiés, surtout en termes du respect des bonnes pratiques de gouvernance des ressources humaines et matérielles.
