ActualiteL'Opinion

Pendant la période d’occupation, l’Arménie a posé plus d’un million de mines sur le territoire de l’Azerbaïdjan !

[ad_1]

L’objectif de l’Arménie est de faire des victimes parmi la population civile de l’Azerbaïdjan

Les mines et les munitions non explosées dans les territoires libérés de l’occupation constituent l’un des défis les plus graves auxquels l’Azerbaïdjan a été confronté dans la période post-conflit. Après la fin de la guerre de 44 jours jusqu’à nos jours, 336 personnes ont été détruites par des mines dans les territoires libérés. Parmi eux, 65 personnes sont mortes, les autres ont subi des blessures plus ou moins graves. Le nombre total de victimes des mines installées par l’Arménie depuis 1991 dépasse les 3 400, dont 595 sont mortes. Parmi les victimes figuraient 357 enfants et 38 femmes.

En plus, sur 180 incidents liés aux mines dans la période d’après-guerre, 128 ont été enregistrés dans des territoires situés en dehors de l’ancienne ligne de contact. Cela prouve une fois de plus qu’ils sont dirigés contre des personnes civiles. Des explosions de mines ont été enregistrées dans des districts détruits, des cimetières, des sources, des carrefours routiers, des forêts et des sentiers ruraux.

Lors des opérations de déminage menées par les employés de l’Agence de lutte contre les mines de la République d’Azerbaïdjan (ANAMA), des pièges et des mines surprises, augmentant ainsi le risque de décès, sont régulièrement rencontrés. L’une des dernières découvertes de ce type a été faite en août de cette année dans un cimetière du village de Gorgan, dans la région de Fizuli, où il a été découvert qu’une mine antipersonnel de fabrication arménienne avait été placée sur une mine antichar, ainsi que un explosif entre deux mines, destiné à augmenter la force de rupture en vue de la destruction massive de moyens mécaniques, ainsi que de personnes. Et ce n’est là qu’un exemple parmi tant d’autres.

Le 3 octobre 2022, des pièges ont été découverts dans les maisons et les cours des villages de Zaboukh et Sus, dans la région de Lachin en Azerbaïdjan, installés par l’armée arménienne et constitués de mines terrestres avec des grenades à main activées par un fil piège. Il convient de noter que conformément au paragraphe 6 de la Déclaration tripartite, la ville de Lachin et les villages de Zaboukh et Sus ont été restitués à l’Azerbaïdjan le 26 août 2022. Il n’y a pas eu d’hostilités actives dans ces zones. Cependant, l’Arménie y a installé des pièges lors du retrait de ses troupes et de ses colons illégaux dans le seul but de nuire aux civils azerbaïdjanais de retour. L’installation de tels pièges, qui sont découverts à plusieurs reprises dans les zones civiles et les territoires adjacents lors des opérations de déminage menées par l’Agence, est une manifestation de la terreur commise contre les civils et l’humanité.

 

Continuer la lecture

Afficher plus
Bouton retour en haut de la page