Santé

Les HPI ont-ils plus de difficultés en amour ? Une psy brise les mythes

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On lit partout que les personnes à haut potentiel intellectuel (HPI) sont plus sensibles, empathiques, souffrent dans leurs relations amoureuses, sont plus sujettes à s’engager dans des relations toxiques. Justine, diagnostiquée HPI pendant le deuxième confinement parce qu’elle pensait souffrir d’une dépression ou de bipolarité, suppose que cette particularité intellectuelle joue sur ses relations amoureuses. « Je ressens toutes les émotions en même temps et trop fort, c’est un bazar sans nom dans mon cerveau », explique la jeune femme de 23 ans. « Je réfléchis tout le temps, je rêve consciemment, c’est épuisant mais ça veut aussi dire que les joies sont bien plus intenses. » Et en amour ? « Dès le départ, j’étais à la marge. J’en voulais trop, je ne donnais pas assez. Je confondais amitié et amour. J’ai eu beaucoup de relations passagères car les histoires sérieuses m’avaient trop fait souffrir. » En couple, elle dit « tout analyser, tout le temps. Chaque regard, chaque conversation, chaque mouvement. »  

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