À 42 ans, Ève Angeli attend son premier enfant
« Je célèbre la vie qui grandit en moi depuis quelques mois. Je désirais cette maternité depuis tant d’années que je commençais à me faire une raison et finalement, je vis un rêve éveillé qui me transporte de bonheur à présent ». Ce sont avec ces mots mis en ligne sur Instagram qu’Ève Angeli a annoncé attendre son premier enfant. « Merci la vie, je suis pleine de gratitude envers le destin et j’espère que vous partagerez aussi ma grande joie », a conclu la chanteuse de 42 ans sans donner plus d’informations sur cette grossesse. Après une relation médiatisée avec son ancien mari, elle n’a pas souhaité donner d’information sur l’identité de son nouveau compagnon.
En France, les grossesses tardives sont en augmentation. Environ 5 % des grossesses concernent des femmes de plus de 40 ans. Quels sont les risques pour la future maman lors d’une grossesse dite tardive ? Comme le rapporte le site du Vidal, ces femmes sont davantage à risque de développer un diabète gestationnel ou une hypertension artérielle gravidique. « Chez les femmes âgées de 40 à 44 ans, la mortalité maternelle est cinq à six fois plus élevée qu’à l’âge de 20 ans (quinze fois plus élevée au-delà de 45 ans), en raison notamment des complications hémorragiques et cardiovasculaires », rapporte le Vidal.
Le suivi est-il identique ? Dans certains cas, les échographies peuvent être plus fréquentes pendant toute la durée de la grossesse. En effet, il existe davantage de risques pour le bébé concernant les malformations congénitales, la présence d’anomalies chromosomiques comme la trisomie 21, une mortalité fœtale in utero également augmentée. En début de grossesse, un bilan médical complet est indispensable pour adapter la prise en charge. Mais, rassurez-vous, dans la majorité des cas une grossesse tardive se déroule très bien pour la mère et son bébé.
