Les confidences de Bernard Lavilliers sur sa santé
Alors qu’il célébrait son 77e anniversaire le 7 octobre, l’auteur-compositeur et interprète originaire de Saint-Étienne apparaît plus énergique que jamais. Connu pour ses voyages autour du monde et son engagement politique, Lavilliers revient sur le devant de la scène avec un nouvel opus intitulé « Métamorphose » et un livre captivant, « Lavilliers, écrire sur place », publié par les éditions Equateurs. Le quotidien « Libération » a dédié un portrait détaillé à cet artiste incontournable de la musique française.
Au cours de cette conversation, l’interprète de succès tels que « Melody Tempo Harmony », « Idées noires » et « On the road again » a partagé ses réflexions sur sa carrière exceptionnelle, évoquant également les défis personnels qui ont jalonné son chemin. Parmi ces défis, Lavilliers a révélé un problème de santé qui aurait pu mettre en péril sa carrière musicale. En tant que chanteur, la préservation de sa voix est d’une importance cruciale. Cependant, Lavilliers a admis avoir adopté une mauvaise habitude par le passé lorsqu’il chantait aux côtés de ses partenaires de scène (source 1).
« Pour faire le match avec les musiciens, je chantais trop fort », a-t-il avoué.
Cette imprudence a eu des conséquences sérieuses, notamment des polypes aux cordes vocales. Heureusement, au fil du temps, la situation s’est améliorée, et Lavilliers a dû ajuster son approche pour protéger son instrument vocal principal.
L’artiste, reconnaissable à sa voix rocailleuse et à sa boucle d’oreille devenue emblématique, a également partagé avec le public ses expériences de santé difficiles liées à la crise sanitaire. Dans une déclaration au Parisien à l’automne 2021, Lavilliers a révélé avoir connu un problème cardiaque en janvier de la même année, soulignant les avertissements de son cardiologue concernant un problème de valve et d’aorte. Malgré ces épreuves, l’artiste semble résilient, et ses propos rassurants dans « Libération » indiquent que sa santé s’est améliorée au fil du temps.