Santé

Argent, travail, physique : quand les complexes d’infériorité sabotent les rencontres amoureuses

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Nora a 29 ans et elle ne compte plus le nombre de fois où elle s’est sentie mal à l’aise en ramenant un date chez elle. « J’ai déjà eu l’impression que mon studio parisien n’était pas assez grand, pas assez bien, en y invitant une personne que je datais », raconte la jeune femme. « Je me compare automatiquement aux personnes que je rencontre et s’ils ont une meilleure situation que moi, je me sens “nulle”, ou “moins bien” qu’elles. » Avant d’entrer chez elle, Nora se cache derrière l’humour pour « faire passer la pilule ». « Je lance des petites blagues auto-dépréciatives, sur le fait que j’ai encore un clic-clac, par exemple. Le pire, c’est quand tu ramènes un mec chez toi et que tu dois déplier le lit et qu’il attend à côté. J’ai l’impression d’être de retour dans mes années étudiantes », raconte Nora, qui date souvent des hommes plus âgés qu’elle et qui ressent régulièrement ce sentiment d’infériorité en leur présence. « Quand je peux, j’essaie d’aller chez la personne et de garder mon studio de 20m carrés le plus secret possible. C’est un peu triste à dire, mais j’en ai  honte. »  

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