Santé

Pollution de l’air en région parisienne : une amélioration mais toujours des risques pour la santé

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Airparif estime que 7 900 décès prématurés dus à la mauvaise qualité de l’air auraient pu être évités. La pollution de l’air peut être à l’origine de maladies chroniques graves telles que les maladies cardiovasculaires et respiratoires, ainsi que de certains cancers. Airparif note que les niveaux d’azote et de particules PM10 « continuent de diminuer », en s’appuyant sur les améliorations réalisées au cours des deux dernières décennies. Bien que le nombre de jours de pollution ait diminué, Airparif souligne que les particules PM2,5 ne sont pas incluses dans le seuil de déclenchement des alertes à la pollution. En effet, la réglementation française est bien en deçà des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé, 40 000 habitants étant encore exposés à des concentrations d’azote supérieures aux limites recommandées (source 1). 

Si la réglementation et les conditions météorologiques favorables ont contribué à réduire la pollution de l’air, la situation en Ile-de-France reste préoccupante pour la santé publique. Bien qu’aucun habitant ne soit exposé à des niveaux de qualité de l’air supérieurs à la limite légale pour les particules PM10, les limites réglementaires françaises pour la pollution de l’air ne sont toujours pas alignées sur les recommandations de l’OMS.

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