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Ma première fois (la sodomie) : Pauline, « Définitivement la honte de ma vie »

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« Je vois ce mec depuis trois mois environ, ça se passe bien, c’est facile et sans prise de tête. On se considère en couple sans pour autant que je me dise que c’est l’homme de ma vie. Autant dire qu’on est complices et qu’on se marre bien, mais on est loin du stade où on est 100 % naturels l’un avec l’autre. Je reste encore sur la réserve, à l’aise, mais pas trop. C’est important pour la suite de l’histoire !

Soirée potes et sodomie

Un jour, on passe un cap. Il veut que je rencontre ses potes, et je suis assez enthousiaste à l’idée de voir dans quel cercle il évolue. On fait une soirée chez lui, c’est très sympa et je me dis que ses ami·e·s pourraient être les miens tellement le feeling passe bien. Bref, je suis en confiance et je commence vraiment à me dire que c’est un type bien, avec qui je peux être moi-même.

Côté cul, jusque-là, on s’amuse bien mais c’est un peu à l’image de notre relation : assez sage et consensuel. Je ne me suis pas encore lâchée, je prends du plaisir, mais un peu par hasard. Lui, je sens qu’il a beaucoup plus d’expérience que moi et qu’il prend son temps pour ne pas me brusquer ou m’effrayer. Moi pourtant, je suis dans un état d’esprit d’exploration, j’ai envie de tester de nouvelles choses, de me débrider un peu et de sortir de ma zone de confort.

Les potes partent, on est un peu enivrés et euphoriques, lui content que j’ai passé une bonne soirée, moi ravie d’avoir fait bonne impression. Je me sens pousser des ailes et commence à le chauffer, en l’embrassant passionnément, caressant son sexe par-dessus son pantalon. Et là je lui propose : “Ce soir, on fait tout ce que tu veux. De quoi tu as envie ?”. Il me répond qu’il veut me “prendre par derrière”. Sur le coup je me demande s’il parle de levrette ou de sodomie. J’ai un peu peur, mais je me dis que c’est le bon soir pour être aventurière. J’essaie de garder la face, mais j’imagine que ma perplexité transparaît, parce qu’il poursuit : “Ça m’excite beaucoup de penser à mon sexe dans ton cul. C’est mon kiff, j’adore ça, la sodomie. Et toi ?”. Là, je flippe vraiment, et je reste interdite. Mille pensées se bousculent… j’y vais, ou j’y vais pas ? Il faudra bien essayer un jour (ou pas, mais moi je savais que j’avais envie de tester au moins une fois), alors autant y aller !

La messy sodomie

Je lui dis que je n’ai jamais vraiment essayé, mais que je suis partante s’il y va doucement. Jusqu’à présent, je ne connais qu’un début de phalange dans les fesses, et je ne suis pas spécialement fan de la sensation, alors un sexe entier, je me demande bien ce que ça va donner. Il perçoit certainement mon trouble parce qu’il fait tout pour me détendre, et me fait jouir avec ses doigts. C’est déjà ça de pris, je me dis ! Là, il me retourne et me met à quatre pattes, lèche ses doigts et commence à me caresser les fesses, l’anus. C’est plutôt agréable, je me laisse aller et décide de donner toutes ses chances au kiff ! Il écarte un peu mes fesses et me fait un anulingus qui me laisse ébahie ! Je ne suis pas 100 % à l’aise, mais c’est bon !

Il sort le lubrifiant, et me demande si je suis toujours ok. Il n’arrête pas de parler de mes fesses, qu’elles le rendent fou, qu’il voudrait les manger. Moi ça m’excite, et je lui donne donc mon go. Il rentre tout doucement, prend son temps, et je le guide aussi avec une main posée sur sa hanche. Bon… la sensation est bizarre. À chaque va-et-vient, j’ai l’impression que je vais faire caca ! Je suis désolée, mais une bite dans le cul, c’est un peu la même chose que de se soulager sur les toilettes. Malgré tout, j’arrive à profiter du moment, je me réjouis de ne pas avoir mal, même si le ressenti n’est pas dingue. Il éjacule en moi, dans mon anus, donc. Et là, c’est encore plus bizarre ! Je n’ose plus bouger, j’ai l’impression que je ne vais pas maîtriser ce qui va sortir de mes fesses. Je m’allonge, lui aussi, et on voit tout de suite la tache marron au milieu du lit. C’est terrible, je me décompose, je voudrais disparaître. Lui, il rit en prenant un mouchoir pour nettoyer son membre souillé par mes… fluides. Mes fluides ! Sur son pénis. Sur son lit. Comment je vais nettoyer ? Comment je vais encore pouvoir le regarder dans les yeux ? Je suis définitivement en train de vivre la pire honte de ma vie.

“T’inquiète, y’a aucun problème, ça fait partie du jeu. Moi ça ne me gêne pas du tout. Si tu ne veux pas te salir, et pratiquer un sexe ultra-propre, tu oublies la sodomie !”, me dit-il. Le mec est 100 % décomplexé, et il est d’ailleurs déjà en train de retirer les draps, m’invitant à prendre une douche si j’en ai envie. Je saute sur l’occasion et me carapate à la salle de bains. Je déteste la sensation de ce mélange de fluide qui s’écoule de mes fesses, et me promet que pour la prochaine sodomie, le mec éjaculera sur mes fesses, pas dedans. Mais son discours me rassure profondément. Après tout il a raison : si tu as la phobie du caca et que tu ne veux pas en entendre parler, tu ne prends pas les gens “par derrière “. Ce sont les risques de la pratique !

Plusieurs années après, je me dis que j’ai eu de la chance que ça m’arrive avec lui. Aucun jugement, aucune gêne : il a géré, et ça m’a permis de ne pas être traumatisée. Aujourd’hui, j’aime bien la sodomie, même si ce n’est pas là que je prends le plus de plaisir. Et si c’est un peu messy, ce n’est pas grave ! »

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