Tony Parker « alcoolique » ? | Santé Magazine

Tony Parker aurait-il, comme de nombreuses célébrités, un problème avec l’alcool ? C’est en tout cas ce qui semble être le cas au vu de ses récentes confidences. Le célèbre basketteur a en effet été invité dans le podcast « InPower », ou chaque semaine, une célébrité inspirante est interviewée par Louise Aubery, connue sous le pseudo @MyBetterSelf. De nombreuses personnalités comme Léa Salamé, Gad Elmaleh, Alain Ducasse ou encore Louise Bourgoin sont également passées au micro de la jeune youtubeuse.

Après avoir abordé ses réussites, mais aussi ses échecs, ses relations amoureuses, ou encore son enfance, Tony Parker a abordé le sujet de l’alcool dans l’épisode du podcast diffusé sur YouTube le 17 octobre dernier. « Je me suis rendu compte que je buvais quand même un verre tous les jours, mais c’est dur de dire non quand tu vas dans différents châteaux et qu’on te sort des bouteilles de fous de 1960, enfin des bouteilles de malade et je me dis : ‘j’ai une petite forme d’alcoolisme alors’ », a-t-il confié. L’ancien joueur de basket est d’ailleurs propriétaire d’un vignoble en France depuis l’année dernière, le domaine du Château La Mascaronne.

« T’as beau dire ce que tu veux, tu bois un jour tous les jours, c’est une forme d’alcoolisme », estime l’ex d’Éva Longoria. En réalité, c’est un peu plus compliqué que cela. Pour limiter les risques pour la santé, les recommandations officielles de consommation d’alcool sont les suivantes :

• « ne pas consommer plus de dix verres standard par semaine ;
• ne pas consommer plus de deux verres standard par jour ;
• avoir des jours dans la semaine sans consommation« , selon Santé publique France (source 2).

Boire de l’alcool tous les jours représente donc une consommation qui dépasse ce qui est recommandé. Les symptômes de la dépendance à l’alcool vont bien plus loin que la seule consommation. Selon le site Vidal, plusieurs signes doivent alerter, tels qu’un désir compulsif de consommer de l’alcool, le besoin de boire de « toujours plus » en raison d’une tolérance accrue, la survenue de symptômes de manque lors de l’arrêt de la consommation, ou encore « l’impossibilité de contrôler sa consommation en termes de début, de fin et de quantité bue » (source 3).